À l’occasion de leur entrée à la Faculté, les 174 étudiants inscrits au programme BCL/LLB ont été conviés à une visite virtuelle des trois portes d’entrée de la Faculté, avec le doyen Daniel Jutras jouant le rôle de “portier” avec l’esprit qu’on lui connait.
Students, staff and professors filled every seat of the Maxwell Cohen Moot Court, even perching in the window wells and leaning against the walls, eager to hear the Dean’s always-memorable welcome address on August 29.
Entamant sa tournée au Pavillon Chancellor-Day, autrefois un manoir cossu du Mille carré doré sis au coin de Peel et Docteur-Penfield, Daniel Jutras a observé, pince-sans-rire, que dans les faits, la superbe porte double de bois et de fer forgé ne s’ouvre pas : « Il est difficile d’entrer à la Faculté de droit » a-t-il remarqué. En effet, seulement 10 pour cent des candidats à l’admission au programme BCL/LLB ont été admis cette année.
The actual entrance to the Faculty of Law passes by the Nahum Gelber Library, the repository of a great many law books which, the Dean remarked, “carry the wisdom, and sometimes the folly, of the ages.” All who enter the Faculty must also pass by an inscription carved into the stone wall that says, in Ancient Greek, English and French: Remuer Ciel et Terre. These words by Euripides remind us to leave no stone unturned in our legal studies, he said, “mais, également, signifient l’importance de la traduction, et de la pluralité.”
Et comme il en a l’habitude, le doyen Jutras a saisi l’occasion pour illustrer le bilinguisme typique de la Faculté, où l’on alterne d’une langue à l’autre dans une même conférence, un même paragraphe ou une même phrase. While très annoying quand trop utilized, this linguistic fluidity “is meant to signal that both English and French are present and vibrant here, not as separate discourses but as versions that speak to one another,” he said.
La troisième porte, qui s’ouvre sur le côté ouest du nouveau Pavillon Chancellor-Day et qui est de facture plus récente, arbore une inscription sur son linteau, Audi Alteram Partem, ‘Écoute l’autre partie’. Ce principe de justice fondamental est la fondation même de la délibération, utile quand il s’agit de définir clairement un différend.
“The pace is frantic here,” he warned. “You will quickly get out of tune and there will be no time to stop and re-tune. So we must hear each other. We must shift on the go, and change our tune to stay in harmony with one another.”
And on that note, we hope that all new students heard one thing, loud and clear: Welcome to the McGill Faculty of Law. Please come in.
-B.W.
Let the Games BeginDurant la Journée de bienvenue qui se déroulait le 28 août, Éloïse Gagné, la présidente de l’Association des étudiantes et étudiants en droit (AED), a présenté les huit membres du conseil de l’AED et le thème des activités d’orientation, The Lawyer Games, qui s’inspirait de la série The Hunger Games. « Toutefois, contrairement à la fameuse série, vous ne mourrez pas et personne n’essaiera de vous tuer, a-t-elle lancé alors que fusaient les rires. Comme tout au long de vos études en droit, la meilleure façon de survivre est de faire équipe avec d’autres et de vous entraider. » Madame Gagné a tenu à rassurer cette nouvelle classe « extrêmement intelligente, talentueuse et passionnée » que l’AED sera « toujours là pour vous représenter et vous aider. » Dans son discours bilingue, elle a invité les étudiants à participer à la vie communautaire à la Faculté, même si leur horaire deviendra très vite surchargé. « Je vous invite sincèrement to get out of your comfort zone, et à participer à des clubs autres de ceux qui vous intéressent déjà», a-t-elle ajouté. After ten days of various meals, tours, welcome speeches, scavenger hunts and prodigious servings of Montreal nightlife, squeezed in between lectures in both Contractual and Extra-Contractual Obligations and the like, Orientation concluded with the ‘Lawyer Games Ball’ on September 7, sponsored by Borden Ladner Gervais, and held at the Omni Hotel. Orientation activities don’t always appeal to mature students who may find them “too frosh-like,” as Veronique McKinnon put it. But McKinnon, who came to the Faculty of Law after completing a Master’s Degree in International Development and working in this field in both Ottawa and Colombia, was frankly impressed by the calibre of her colleagues. “This is a really diverse group of people,” she says. “Even the younger students I’ve met seem incredibly mature and accomplished.” |